

« 手陽明之別,名曰偏歷。去腕三寸,別入太陰;其別者,上循臂,乘肩髃,上曲頰傷齒;其別者,入耳,合於宗脈。
Shǒu yángmíng zhī bié, míng yuē piān lì. Qù wàn sān cùn, bié rù tàiyīn; qí bié zhě, shàng xún bì, chéng jiān yú, shàng qū jiá shāng chǐ; qí bié zhě, rù’ěr, hé yú zōng mài.
Le trajet séparé (bié) du yángmíng de main s’appelle piānlì. Il se sépare à trois cun du poignet pour aller vers tàiyīn. Il monte le long du bras jusqu’à la partie supérieure de l’épaule (jiān yú), monte dans la mâchoire inférieure et latéralement dans les dents. Un autre trajet séparé (bié) entre dans l’oreille où il s’unit au rassemblement des vaisseaux ( zōng mài) . » Ling Shu, chapitre 10
Vous êtes très peu nombreux à comprendre réellement les subtilités de l’anatomie vasculaire du Nei Jing … une étude détaillé doit être menée de façon à pouvoir pratiquer une acupuncture authentique (et bien sur l’acupuncture de maitre Tung)
Une expertise du Nei Jing existe en France.
http://jeansylvainprot12.com
Comment aborder méthodologiquement l’étude des textes médicaux de la chine ancienne et quelles en sont les conséquences pour la pratique clinique ?
La médecine du nèijīng permet de réconcilier les connaissances traditionnelles et scientifiques contemporaines. Retourner à cette source, cultiver la racine (本 Běn), est une nécessité pour assurer le renouvellement et conserver la vitalité de notre tradition médicale.
Il est temps de revoir absolument tout ce que vous croyez savoir sur l’acupuncture classique …